Passer la soirée à lire les entretiens de François Cheng avec Françoise Siri, et réfléchir sur la beauté de la vie :

« La laideur règne partout, certes. A cause de divers maux à l’œuvre, y compris la violence extrême, notre société et notre environnement sont rongés par la laideur. Toutefois il faut apprendre à percevoir la beauté cachée. A côté des grandes beautés qu’on peut trouver dans les paysages ou les œuvres d’art, la beauté continue à s’incarner dans la vie courante : un visage rencontré, un sourire échangé, quelques fleurs anonymes poussant dans un recoin du trottoir, un rayon de soleil couchant dorant un vieux mur…. » (page 64).

Aller récupérer Méditations sur la mort, autrement dit sur la vie, de François Cheng à la librairie Baba Yaga, de Sanary sur mer, qu’on a fini par commander parce qu’on le voulait sur la table de nuit, après l’avoir emprunté à la Médiathèque, lu une fois, lu deux fois, demandé un délai pour le garder un peu plus, le relire une troisième fois mais devoir le rendre quand même.